Certains pilotes ont déjà déclaré que, vu la configuration des pistes, les risques de collision risqueraient d'être élevés. Au vu de la photo, je suis d'accord...
Le site de Sathip, ou les aventures d'un hélvète au Siam. Photos, coups de gueule, goûts et couleurs.


Le profit passe avant toute autre considération… Inquiétant. Alors, l’autre jour, lorsque la ville de Chiang Mai a été inondée pour la troisième fois cette saison, je me suis souvenu des actions et des avertissements de ce moine ; et j’ai aussi écouté les remarques des anciens : « Lorsqu’il y avait des forêts dans les montagnes, il n’y avait pratiquement jamais d’inondations… ».
En Thailande, dans la plupart des temples, on peut lire des proverbes en anglais et en thai affichés sur les arbres. Hier je suis allé me promener dans le parc de l’un d’entre eux, le Wat U Mong. Sur l’un des arbres était écrit : « Today is better than two tomorrow », “Aujourd’hui vaut mieux que deux lendemains ». La théorie selon laquelle seul l’instant présent compte ; hier n’existe plus, demain pas encore. Exact, nos actions(ou nos non-actions…), MAINTENANT, conditionnent le futur de nos enfants. C’est là plus qu’une responsabilité ; un devoir. Malheureusement, j’ai la désagréable impression que tout cela est prétérité par de dangereuses habitudes, une bonne dose d’égoïsme et des décennies d’inconscience. L’actualité et l’O.M.S. (qui d’ailleurs n’a cessé de mettre en garde les gouvernements depuis 2-3 ans, sans grand succès…) nous rappellent qu’en jouant avec le feu, on risque bien de se brûler. Et telle la fiévreuse volaille qui glousse son dernier soupir avant d’être incinérée ; j’entends tous les salopards qui nous polluent glousser également et je les vois continuer, inexorablement, à scier la (dernière ?) branche su laquelle nous sommes TOUS assis. Mais ne sommes-nous pas tous responsables ?
Pour conclure, prenez le temps de lire et de méditer sur ce discours :
Ceci est la réponse du Chef Seattle en 1854 au gouvernement américain qui lui proposait d’abandonner sa terre aux blancs et promettait une réserve pour le peuple indien. À la lumière des problèmes écologiques, ce texte est à la fois prophétique, poétique et éclairant :


Il y a environ 2 semaines, les classes de 4-5 et 6ème de mon école ont eu une course d'école du côté de Samoeng. C'est un district, perdu dans les montagne, se trouvant à environ 50 km de Chiang Mai.
C'est là que sont cultivés la plupart des fruits, légumes et fleurs que l'on trouve sur les marchés de Chiang Mai. On y produit également du vin de fraises ... pas terrible je dois dire. Par contre la confiture de fraises de Samoeng est absolument délicieuse; presque aussi bonne que celle de maman...
Nous avons visité un centre qui s'occupe d'enfants et jeunes adultes Karens qui faute d'argent -n'ont pas les moyens d'aller dans les écoles gouvernementales thaies.
Là, en plus des matières principales telles que le thai, les mathématiques, les sciences, etc... les filles apprennent à tisser et les garçons à travailler le bois.



Les minorités ethniques du Nord; Lisu, Akha, Karen, etc... sont encore actuellement dans une situation précaire. Mal intégrées, ayant des moyens de subsistance restreints, de cultures différentes, elles sont peu soutenues par le gouvernement et restent donc encore très en marge de la société thaie. Refrain malheureusement bien connu sur d'autres continent; que ce soit en Amérique du Sud (Brésil) ou ailleurs en Asie (Indonésie, Malaisie, Australie...)


Plus haut dans le Nord-Ouest, des glissements de terrain et des torrents de boue ont occasionés d'importants dégâts dans les villes de Pai et Mae Hong Sorn. Dans cette région on dénombre quatre morts et six disparus pour le moment.

D'après les statistiques, ce sont les pires inondations enregistrées depuis 60 ans... A l'heure qu'il est, il semblerait que le niveaux des eaux n'a pas encore baissé et on annonce mallheureusement de nouvelles précipitations...
Quant au district dans lequel je réside, Doi Saket, à envion 20 km de Chiang Mai, auncuns problèmes sérieux à signaler, si ce n'est quelques flaques dans les jardins et les champs.
Abhaya Mudra

Bhumisparsa Mudra

Dharma Shakra Mudra



Saviez-vous que le « véritable » nom de Bangkok est le plus long du monde ?
Les thais l’appellent Krung Thep ; qui en fait, est l’abréviation de :
Krung-Thep-Mahanakorn-Amon-Rattanakosin-Mahintara-Ayuthaya-Mahadilok-Propnopparat-Ratchathani-Burirom-Udomratchaniwet-Mahasathan-Amonphiman-Avatarnsatith-Sakkatith-Tiyavisanookam-Prasit.
Qui signifie :
La grande cité des anges, l’invincible et suprême terre de la grande divinité immortelle (Indra), la capitale royale au neuf nobles gemmes, la ville plaisante, abondant de grand palais royaux, et paradis divin pour la déité réincarnée (Vishnu), donnée par Indra et créé par le dieu de l'ouvrage (Visnukarma).

Le nom de la ville a été inspiré par le Roi Rama I, le fondateur de la ville, pour la célébrer en tant que nouvelle capitale. Après Sukhothai, Ayudhaya, et Thonburi, il a déplacé la capitale de Thonburi à un endroit appelé, à cette époque là, Bangkok (baan kok, littéralement le « village aux olives »), et a rebaptisé la nouvelle capitale « Krungthepmahanakhorn ». Le nom a été par la suite quelque peu changé par le Roi Rama IV (Mongkut) .
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