ประเทศไทยรวมเลือดเนื้อชาติเชื้อไทย
Prathet Thaï Rouam Leuatt Neua Tchaatt Tcheua Thaï
La Thaïlande est faite de la chair et du sang de ses citoyens
เป็นประชารัฐ ไผทของไทยทุกส่วน
Pen Pra Tcharatt Pha-Thai khaung Thai Thouk Suan
Le sol de la mère patrie appartient à ses enfants
อยู่ดำรงคงไว้ได้ทั้งมวล
Yoo Damrong Khong Waï Daï Thang Mouann
Et demeure leur soutient permanent sans exception
ด้วยไทยล้วนหมาย รักสามัคคี
Douay Thai Louan Maaï Raksa Makkhi
Tous les Thaïs sont résolus à rester unis
ไทยนี้รักสงบ แต่ถึงรบไม่ขลาด
Thai Ni Rak Sangop Tae Theungrop Mai khlaatt
Ils chérissent la paix, mais n'ont pas peur de combattre.
เอกราชจะไม่ให้ใครข่มขี่
Ekaratt Ja Mai Haï khraï khom Khi
Ils ne laisseront jamais personne les soumettre
สละเลือดทุกหยาดเป็นชาติพลี
Sala Leuatt Thouk Yaat Pen Tchaat Phli
Ils sacrifieront chaque goutte de sang pour la Nation
เถลิงประเทศชาติไทยทวี มีชัย ชโย
Thaleuang Prathett Tchaat Thaï Thawimi Tchaï Tchaiyo
Et garantir au pays une éclatante victoire
Ecouter l'hymne : http://www.prd.go.th/thaisound/mp3/01-Track1.mp3
mercredi, juillet 25, 2007
dimanche, juillet 08, 2007
07.07.07, UNE JOURNEE SPECIALE POUR LE TAXI 7777
Monsieur Saiyon Opas est chauffeur de taxi a Bangkok depuis 7 ans. Son taxi ne le distingue pas des autres taxis de la capitale, si ce n'est que son numero de plaque est le 7777.
Jusqu'ici rien de bien extraordinaire, si ce n'est qu'hier nous etions le 07.07.07 et que, lorsqu'il a commence sa journee, Mr. Opas s'est dit que celle-ci ne pourrait etre qu'une bonne journee au vue de l'amusante coincidence entre le calendrier et sa plaque d'immatriculation.
Il n'allait pas etre decu : A 3h du matin ce samedi 07.07.07, alors qu'il roule tranquillement sur une des avenues, deux adolescents lui font signe de s'arreter; ils accompagnent une jeune femme qui - ils lui expliquent - doit se rendre d'urgence a l'hopital pour accoucher. Ni une ni deux, Mr. Opas embarque ses trois passagers et roule en direction de l'hopital Bumhipol. Apres 10 minutes, les cris et les pleurs qu'il entend sur la banquette arriere lui font comprendre qu'il a maintenant 4 passagers et qu'il n'est donc plus la peine de se depecher, le bebe est enroule dans le T-Shirt du jeune homme; c'est un petit garcon tout frippe et en pleine sante.
Le voyage se termine tout de meme a l'hopital, ou une sage femme de garde se charge de couper le cordon ombilical, et ou le bebe et la maman se reposent encore a l'heure qu'il est. Il se portent tous les deux tres bien.
Ce petit est donc ne le 07.07.07 dans le taxi 7777, il est fort probable que son surnom soit... sept.
samedi, juillet 07, 2007
THAILANDE - NOUVELLE CONSTITUTION
Un partisan du Premier ministre déchu, Thaksin Shinawatra, dont le parti est interdit depuis le mois de juin, manifeste devant le parlement le 6 juillet 2007.(photo : Reuters)
Ce 6 juillet, les 98 membres de la Constitution Drafting Assembly (CDA), l’Assemblée constituante nommée par la junte, ont approuvé un projet de Constitution dont l’une des principales caractéristiques est de restreindre les pouvoirs dévolus au Premier ministre par la précédente loi fondamentale. Celle-ci avait été adoptée en 1997 et révoquée après le renversement de Thaksin Shinawatra, le 19 septembre 2006. Depuis, le Premier ministre déchu est poursuivi pour prévarication et détournements de fonds publics. Sans surprise, le président de la CDA, Noranit Sethabutr, a annoncé que « le vote a été unanime ». Il promet la diffusion, d’ici la fin du mois, du texte tiré à « 19 millions d’exemplaires » pour que les électeurs puissent « l’étudier avant le 19 août prochain », date fixée pour un référendum aux résultats encore incertains. Si le texte passe, des législatives sont prévues le 25 novembre prochain.
Bien évidemment, les membres de la CDA présentent leur nouvelle loi fondamentale comme étant beaucoup plus démocratique que la « Constitution du peuple » de 1997. Cette dernière est en tout cas passée à la trappe avec la révolution de palais de septembre 2006 qui a chassé en exil l’ex-flamboyant Premier ministre Thaksin Shinawatra. L’épais document n’étant pas encore très largement disponible, pour juger de son contenu il faut pour le moment s’en tenir aux éléments mis en avant par la junte ou relevés par les médias nationaux. A les lire, il apparaît donc que le Premier ministre verra désormais limités à deux le nombre de ses mandats (de quatre ans chacun), qu’il sera plus facile de faire jouer contre lui des mesure d’empêchement ou de censure et qu’il lui sera interdit d’être actionnaire ou d’entrer dans les hautes sphères dirigeantes de firmes privées.
Le contre-modèle Thaksin
Largement inspiré par l’expérience Thaksin et la volonté d’instaurer un système de surveillance et de contrepoids des pouvoirs du chef du gouvernement, le texte exige notamment des ministres et des parlementaires une transparence patrimoniale et financière élargie. Réduisant le nombre des députés au Parlement, la junte propose aussi qu’une « commission spéciale » nomme la moitié des quelque 150 sénateurs. C’était l’un des articles les plus discutés de la nouvelle charte fondamentale qui n’a pas non plus consacré le bouddhisme religion d’Etat comme l’espérait certains militants de l’opposition. Un article 78 indique en effet que « l’Etat accordera aide et protection au bouddhisme professé par la majorité des Thaïs, et aux autres confessions ». Un article 30 inédit stipule de son côté que « femmes et hommes, ainsi que ceux qui participent d’un autre genre, jouiront de droits égaux ».
Dès vendredi, une centaine de militants du troisième sexe est allée manifester sa joie, fleurs en main, devant le Parlement tandis qu’au même moment, un millier de partisans de l’Alliance démocratique contre la dictature manifestaient au contraire leur réprobation. « Cette constitution a été rédigée par des dictateurs. Comment pourrions-nous l'accepter ?», interroge par exemple l'ancien porte-parole de Thaksin Shinawatra, Jakrapob Penkair. Dissout en juin dernier par un tribunal mandaté par les militaires, le parti de Thaksin, Thai Rak Thai (Les Thaïs aiment les Thaïs), a été chassé de l’échiquier politique, ce qui n’empêche pas ses partisans de militer en sous-main contre un projet de Constitution qu’ils ne sont pas les seuls opposants à juger « rétrograde ». La junte a déjà fait savoir qu’au cas où son texte ne passerait pas, elle choisirait alors de remettre en vigueur l’une ou l’autre des 16 constitutions qui se sont succédé entre 1932 et 1997.
Mesures judiciaires et financières contre la galaxie Thaksin
« Les élections doivent être libres, justes et transparentes », martèle le Premier ministre par intérim, le général de réserve Surayud Chulanont, en réponse aux interrogations sur les motivations de la junte à accélérer un calendrier électoral qui programmait initialement le référendum en septembre et les législatives en décembre. Les pressions internationales en faveur d’un retour aussi prompt que possible à une vie politique plus civile ont certainement pesé. Mais la junte a sans doute aussi ses propres raisons de vouloir battre le fer encore chaud des mesures qu’elle a prises en rafales contre la galaxie Thaksin condamnée au minimum à une âpre traversée du désert. Depuis trois semaines, le parti du Premier ministre déchu est interdit de toute activité politique pour cinq ans. Même sanction pour 110 barons de Thaksin, accusés de fraude électorale.
Le 11 juin, la junte a voulu couper les cordons de la bourse de l’ancien chef du gouvernement, une commission anti-corruption ordonnant le gel de plus de 1,5 milliard de dollars sur des comptes bancaires de la famille Thaksin. Le 2 juillet, 31 membres de son ancien gouvernement et 17 responsables de la loterie nationale ont également été accusés avec Thaksin d’escroquerie, au détriment de l’Etat. Evasion fiscale, délit d’ingérence boursière, les condamnations pleuvent sur Thaksin accusé avec son entourage d’avoir « causé de graves dommages au pays ». Les nouvelles autorités lui avait donné jusqu’au 29 juin pour revenir à Bangkok s’expliquer devant la justice, sous peine d’être visé par un mandat d’arrêt international. Thaksin n’est pas venu et la police thaïlandaise « a publié une nouvelle convocation pour que Thaksin et sa femme se voient notifier les charges qui pèsent sur eux le 27 juillet ».
Au Royaume-Uni où il passe l’essentiel de ses journées d’exilé, Thaksin a tenté, sans succès jusqu’à présent, de racheter le club de football de Manchester et de se regagner la sympathie des Thaïs, épris de ballon rond. En Thaïlande, les survivants de l’hécatombe politique qui a fait le vide dans son orbite n’ont guère d’autre choix que de se regrouper dans une nouvelle formation. « C'est bien d’avoir avancé les élections mais il faut ouvrir la possibilité d'enregistrer des partis politiques, faute de quoi les élections ne seront pas légitimes », souligne l’un des anciens responsables du Thai Rak Thai de Thaksin, Kudeb Saikrajang. Il y a urgence, en effet, pour être en ordre de bataille aux législatives d’où sortira un nouveau Premier ministre.
mardi, juillet 03, 2007
YEEEEEEESSSSSSSSSS !!!!
Pour rester dans le sujet de la Coupe de l'America :
En 2000, apres avoir brillamment remporte la Coupe pour la seconde fois (cette fois en tant que Defender), Sir Peter Blake (Team New Zealand) envoya cette lettre au team Luna Rossa, l'equipage du bateau italien Challenger. C'est a la fois un hommage, une lecon d'humilite et une lecon de vie. Magnifique !!!
DEDICATED TO LUNA ROSSA
The America’s Cup is an elusive trophy, and has rarely changed hands in the last 150 years. This is not a sport for the faint hearted. It is not a quest to take lightly or on a whim. It is a fight between sailors from yacht clubs all over the world that desperately want the same thing: get their hands on the Cup.
The prestige for the winner has more value than any other sporting achievement. It’s winning against the invincible and doing the impossible that attract sailors, dreamers and millionaires, but the victory is not easy, and most of the time it doesn’t happen.
The only way to win is to continuously participate, continuously return time and time again with the conviction that you can do it. Hesitating after the first attempt is not part of the rules of the game.
You need extraordinary people with ferocious motivation, lots of experience and attention to details and unconditional dedication. The game is uncertain; for all you can dedicate, for all that you can motivate, and for all that you are willing to spend the victory is never guaranteed.
For some it becomes a kind of drug. It is a game that you can come to deeply hate, to then discover that you can’t live without it at least not until you win. Then there’s the metamorphous (at least that is what happened to me).
I was part of a crew that succeeded in winning the America’s Cup at least once and successfully defending it. I was finally free of the tightness in my mouth and in my stomach. I am paid. I am cured. I go to sleep at night and dream other dreams. New passion are being born inside of me.
Just so that it is clear, competing for the America’s Cup is a game of passion, of dreams when in every waking moment (and while you are asleep) you have only one unique thought and that is winning but the victory is uncertain until you have it in your hands.
The delusion and the disappointment hurts even when the others are suffering, imagine trying it out on your own hide. You keep asking yourself “how”? and “why”? For weeks until you find the determination to try again, to not repeat the same mistakes, to do it better than before, to be better that the rest of the world, to be the best and than the anxiety becomes dreams and passions all over again.
The thought of winning never ever abandons you but it is better to leave it on the side and concentrate on a new objective: to be the best in every phase of the new challenge. Nothing is left alone, not even the smallest detail. But this doesn’t happen just because you want it to.
You need a team of exceptional people who share the same dream and the same passion and are not scared even when odds are against them. It’s the difficulty of the challenge that puts the adrenalin in your veins that may have been weakened by the previous defeat. The America’s Cup is what it is because it is so difficult to win.
It is not a game for armchair admirals. It is not a game for a person who is not prepared to come back. It is not a game for the faint hearted. It is a game for those who are not scared of pitting themselves against the best that the world has to offer. It’s a game where winning is almost impossible, almost, but not impossible. And this is why it is worth fighting for. It is the difficulty that gives any challenge some sense. This is the essence of life itself.
To all the people in Team Prada who are telling their story in this book, I would like to say, I admire your sportsmanship, your tenacity and your enthusiasm for life. You have given all of us a really positive imagine of your country and your countrymen will be proud of you.
This time you didn’t win but certainly didn’t lose. You only lose when you don’t have the courage to return. Not winning is part of the learning process which leads you to success. Because it is also a question of luck.
It won’t be easy. The best things never are.
Peter Blake
Sir Peter Blake (1948 -2001)
Vainqueur de l'America's Cup en 1995 et 2000
lundi, juillet 02, 2007
REGINA COELI COLLEGE - INAUGURATION NOUVEAU BATIMENT
Vendredi dernier (29.06.07) a eu lieu l'inauguration du nouveau batiment "Ursula" dans lequel les classes primaires vont desormais etudier.
Le batiment a ete officiellement inaugure par Son Altesse la Princesse Soamsavali Kitiyakara ; cette derniere etant elle-meme une ancienne eleve de l'ecole.La cour interieure du nouveau batiment
Vue sur le Doi Suthep depuis une des classe du dernier etage
Les eleves attendant la Princesse...
Quelques eleves de 5 eme primaire.
Pas de fete sans quelque chose a manger...
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